Vision Quest : 4 jours seul dans la jungle sans boire ni manger ni parler
1% better every day - DailyMax #150
Voici mon histoire la plus longue jamais écrite ! Si on m’avait dit un jour que j’aurai un blog avec des articles de 10.000 mots, je n’y aurais pas cru ! Rassurez-vous, j’ai pris le soin de décomposer l’histoire en chapitres pour vous aider à aller directement lire ce qui vous intéresse.
Dans cette newsletter, j’ai sélectionné pour vous les chapitres “pratico-pratiques” :
L’origine de ma quête spirituelle
Vision Quest : un rite de passage
Mes 52 intentions
Hamac anti-moustique et lingettes bébé
Mes 6 visions (et leurs interprétations)
Étant limité en nombre de mots sur cette newsletter, vous trouverez sur mon blog le détail complet de l’expérience dans un style d’écriture très authentique (vous allez vite comprendre pourquoi…) et une approche “heure par heure”. Pour faire cet exercice de mémoire, j’ai sauté sur mon carnet de notes dès mon retour à la civilisation pour être sûr de retranscrire au mieux ce que j’ai vécu seul dans cette jungle mexicaine.
L’ORIGINE DE MA QUÊTE SPIRITUELLE
Si vous êtes abonnés à ma newsletter « DailyMax » depuis 2020, vous savez que je poursuis une quête axée autour de 7 niveaux énergétiques. Et si vous me suivez depuis plus de 2 ans, alors vous savez à quel point dans la vie tout est possible, et on peut réaliser des changements de vie hallucinants, au rythme d’une petite victoire à la fois (le fameux 1% better every day).
En 2020, j’ai commencé par les 3 premières énergies qui me semblait les plus simples à travailler : bien bouger / bien manger / bien dormir. J’ai lu et testé par moi-même tout ce que je pouvais. Les résultats ont été partiellement bluffants. À 35 ans, j’ai réalisé mes plus beaux exploits sportifs, comme escalader le Mont Blanc, devenir Half Iron Man ou faire 1.000.000 sauts de corde à sauter en 250 jours. Je suis aussi devenu plant-based et ai acquis une efficacité moyenne de sommeil à +95%.
En 2021, je me suis concentré sur les 3 autres energies : respirer, aimer et s’éveiller. Concernant la partie « spiritualité » de ma quête, je n’y suis pas allé avec le dos de la cuillère. Faut avouer que le Mexique est incroyable sur ces sujets. Ici, vous faites des expériences spirituelles comme vous faites du Vélib’ à Paris. Ce pays possède une énergie démentielle, un véritable vortex.
Ma première expérience fût une retraite en silence de 10 jours en Nouvelle-Zélande. À l’époque, c’était l’expérience la plus dingue que j’avais vécu. J’étais loin d’imaginer ce qui allait suivre.
En 2021, tout s’est accéléré en arrivant au Mexique. J’ai découvert les Holotropic Breathwork à Sayulita (j’en parle ici en vidéo). J’ai participé à 6 ateliers en 3 mois, tous plus puissants et libérateurs les uns que les autres. En réalité, « puissant » est relatif, surtout vis à vis de l’expérience suivante, qui a changé ma vie. Il y a eu un « avant-bufo » et un « après-bufo ». Je vous laisse découvrir pourquoi ci-dessous.
Mai 2021, je tombe sur une vidéo de Loic Le Meur qui explique le principe de la Vision Quest. Je n’avais jamais entendu parler de cette cérémonie. 4 jours seul sans boire, ni manger, en restant dans un carré au milieu de la jungle ? Bizarrement, je me suis senti attiré par l’idée.
Comme il suffit parfois de demander à l’univers pour que les choses s’alignent pour vous, je rencontre une chamane à Oaxaca spécialisée dans le Peyote. Elle me demande si c’est sur ma bucket list car une cérémonie est organisée en novembre dans le Yucatan. Voyant mon intérêt pour la question, elle m’indique qu’il y aura une Vision Quest à faire juste avant. Il n’en fallait pas plus pour booker un retour au Mexique en novembre !
Petite parenthèse sur la cérémonie Peyote réalisée à la suite de ma Vision Quest. Pour être honnête, je n’avais pas trop d’attente, mais je ne pensais pas que cela serait aussi puissant. Si vous êtes intéressé, n’hésitez pas à me demander le mot de passe pour accéder à l’article.
Vision Quest : un rite de passage
La Vision Quest est un rite de passage « à l’âge adulte » dans certaines cultures amérindiennes. Il fonctionne toujours autour d’un jeûne complet de quatre jours et quatre nuits, seul en pleine nature, dans un endroit sacré choisi par les aînés.
Pendant cette période, le « visionnaire » se retrouve avec lui-même et ses 52 prières (intentions) pour offrir son amour, gratitude, respect et engagement envers toute la communauté dont il/elle fait partie. Les esprits viendront alors à lui/elle avec des visions pour l’aider à trouver un sens à sa vie, son rôle dans la communauté et la meilleure façon de servir son peuple. Cette vision peut prendre plusieurs formes et nécessite un travail d’interprétation spécifique.
Pendant des siècles, la Vision Quest a été le fondement du chemin spirituel dans de nombreuses traditions, avec d’autres pratiques cérémonielles telles que le Temazcal et la « Danse du Soleil » (Sun Dance). Seul dans un sanctuaire naturel, nous cherchons à nous connecter avec notre moi intérieur, avec les forces de la nature, avec le Grand Esprit et à nous permettre de recevoir le cadeau d’une purge profonde de tous les fardeaux de notre vie quotidienne et d’ouvrir nos sens à la voix de notre médecine intérieure. Oui, tout un programme !
Il y a deux groupes pendant la cérémonie. Les visionnaires et les volontaires (groupe de soutien). Pendant les 4 jours, où les visionnaires seront livrés à eux-même dans la jungle, les volontaires vont protéger le camp et maintenir le feu sacré allumé. Ils auront aussi pour mission de chanter, manger/boire et faire des offrandes régulières, dans le but d’équilibrer le travail individuel des visionnaires.
Les points clés :
Un exercice d’introspection, de volonté, de concentration et de lâcher prise,
La clarté par l’isolement de la ville, du travail, de la famille et des relations,
Une réflexion profonde sur notre vie / histoire (ce qui a marché et ce qui n’a pas marché),
S’abandonner au Grand Esprit en apprenant à faire confiance à soi-même, à la communauté et à l’univers.
Préparation la semaine précédente :
Réduire son apport calorique à l’approche de la cérémonie (idéalement, un seul repas par jour),
Réduire le sel et le sucre (voir l’enlever complètement),
Stopper la viande, le poisson et les produits laitiers (en gros, devenir vegan),
Pas de sexe, ni masturbation (vous devez conserver votre énergie sexuelle),
Pas d’alcool, de tabac, de caféine ou drogues.
La liste complète de mes 52 intentions
Vous avez le droit d’avoir deux choses avec vous : votre matériel de camping et vos intentions (prières). Chaque visionnaire doit préparer une liste de 52 intentions, 13 pour chaque direction (Est, Ouest, Sud et Nord). Toutes les directions représentent des archétypes et des énergies spécifiques, auxquelles sont dédiées les prières.
L’intention est très différente du « je veux ». L’intention est un processus profondément énergétique, pour combler le fossé entre ce que nous sommes aujourd’hui (ce que nous montrons aux autres, tous les masques que nous portons) et ce que nous sommes en train de devenir / de grandir.
Tout est question d’équilibre. Trop de tension, on peut se déconnecter de la matière ou de l’esprit. Trop peu de tension, on peut rester uniquement identifié à l’ego et passer quatre jours à souffrir de la faim sans y voir une signification.
Plutôt qu’un long discours, je propose de vous partager mes 52 intentions (cliquez sur l’image ci-dessus). Elles sont évidemment très personnelles et liées à un moment de ma vie. Je pense que le même exercice, il y a 5 ans ou dans 10 ans, donnera forcément un résultat différent. Nous évoluons en permanence (surtout quand ton job est de réaliser tes rêves!).
Pour finir sur cette partie “organisation”, je tiens à remercier Ohtly Yancuic, le cercle de médecine traditionnelle de Tulum, pour avoir rendu possible cette Vision Quest.
Mes 6 visions (et leurs interprétations)
Je préfère vous prévenir tout de suite, il n’est pas question de « visions « psychédéliques » ou « transcendantes ». Seul dans ton hamac, tu ne vas pas voir un ange descendre du ciel ou parler aux animaux de la forêt.
Si tu recherches des sensations fortes, je te recommande plutôt de lire :
Mon retour d’expérience sur les cérémonies Peyote et Bufo Alvarius
Les 4 éléments à connaître pour une bonne expérience psychédélique (et non un bad trip)
Voyage aux confins de l’esprit de Michael Pollan
Je vous l’accorde, le titre « Vision Quest » peut porter à confusion. Mais je vous l’assure, ici pas de vision, mais des « messages » à interpréter. Si vous avez pris le temps (et je vous remercie!) de lire mon récit en entier, vous savez de quoi je vais parler. Si vous avez sauté directement à la conclusion (je ne vous en veux pas!), il s’agit « simplement » de pensées ou moment de clarté, upgradé au rang de « vision ».
En d’autres mots, la Vision Quest est un moment d’introspection où vous passez LI-TTE-RA-LE-MENT votre journée à réfléchir. Au bout d’un moment, sans boire, ni manger, ni café, ni quoi que ce soit, votre esprit devient plus « clair » et vous prenez le temps de vous poser les bonnes questions. C’est là que les « messages » apparaissent. Laissez-moi vous partager les miens.
1/ Le temps passe plus vite qu’on le pense
Dans la théorie de la relativité d’Einstein, la dilatation du temps décrit un effet de la relativité restreinte, où une différence du temps écoulé entre deux événements est mesurée par des observateurs qui se déplacent l’un par rapport à l’autre. Les mesures diffèrent selon leur proximité d’une masse gravitationnelle. Fondamentalement, il indique que plus nous allons vite, plus le temps est affecté.
Mon niveau de compétence en physique s’est arrêté au niveau du bac, donc je n’irai pas plus loin. En revanche, cette Vision Quest m’a permis de réaliser, une nouvelle fois, que le temps est relatif. Nous sommes conditionnés dans notre société actuelle à « accélérer » le temps qui passe, à remplir nos journées de réunions et interactions, à « faire » plutôt que « être » (je sais de quoi je parle!).
Pendant 15 ans, j’étais fier d’être un « CEO occupé », d’avoir des réunions « back-to-back » et de poster sur mes réseaux sociaux à 23h12 des phrases du genre « mais où est donc passée ma journée ? ». En clair, je valorisais le fait de ne pas avoir de temps. Je cultivais cette envie de ne pas voir le temps passé. Mais finalement, cela ne revient-il pas à vivre la vie sans prendre le temps de regarder le paysage ?
En 2019, j’avais été particulièrement touché par le livre « Deep Work: Rules for Focused Success in a Distracted World » de Cal Newport. Mais incapable de mettre en pratique les enseignements, malgré une forte conviction de leurs bienfaits. En d’autres termes, le travail en profondeur est comme un superpouvoir dans notre économie toujours plus rapide et concurrentielle. Et pourtant… nous avons perdu cette capacité. 3 ans plus tard, après 90 heures allongé dans un hamac, je pense (enfin) comprendre comment mettre cela en place dans mon quotidien.
2/ Nous sommes (complètement) déconnecté de la nature
En relisant mon récit, je prends conscience de l’ampleur de cette déconnection. Il aura fallu 36 ans pour que je me retrouve à dormir en pleine nature pour la première fois. J’imagine que cela peut paraitre ridicule pour nombreux d’entre vous, voire peut-être invraisemblable pour certains.
Je ne suis pourtant qu’un enfant de banlieue parisienne avec une enfance tout à fait normale (et sûrement plus aisée que la moyenne). J’ai simplement dû louper toutes les occasions qui se sont présentées à moi. À noter : j’ai eu la chance d’avoir des grands-parents avec une maison de campagne en Bretagne, près d’une grande forêt, où j’ai pu passer de nombreuses après-midi à jouer avec mes cousins.
Néanmoins, la déconnection avec la nature s’est faite rapidement vers la fin de l’adolescence. Ce moment où les filles, les jeux vidéos et Internet ont remplacé sans aucune difficulté toutes les activités « nature ». À 18 ans, je me suis enfermé dans une vie parisienne, pour n’en sortir que 15 ans plus tard, par la force des choses. Encore merci TF1 !
Je repense à cette citation issue de l’incroyable livre de Michael Pollan sur les psychédéliques. La vision des champignons par Paul Stamets est « mind-blowing ». J’ai relu plusieurs fois la citation pour comprendre ce qu’il voyait. Et si la réponse aux problèmes dont nous faisons face écologiquement était donné par la nature, celle qui subit directement le préjudice ?
Stamets dilated on the idea of psilocybin as a chemical messenger sent from Earth, and how we had been elected, by virtue of the gift of consciousness and language, to hear its call and act before it’s too late. “Plants and mushrooms have intelligence, and they want us to take care of the environment, and so they communicate that to us in a way we can understand.” Why us? “We humans are the most populous bipedal organisms walking around, so some plants and fungi are especially interested in enlisting our support. I think they have a consciousness and are constantly trying to direct our evolution by speaking out to us biochemically. We just need to be better listeners.”
« How to change your mind » de Michael Pollan
Si c’est le cas, et au vu des catastrophes qui arrivent, même si ce n’est pas, il serait bon de rester connecter avec Dame Nature. Le challenge est de taille car tout est designé de nos jours pour nous en déconnecter…
3/ Mes addictions (alcool, sucre, caféine et sport).
Nous avons tous au moins une addiction. Que ce soit notre téléphone, le sucre, le café, l’alcool ou (la pire de tous) la cigarette. Je pense aussi que nous ne choisissons pas consciemment nos addictions. C’est au rythme d’un glissement lent et invisible qu’on se retrouve un jour pris au piège. Personnellement, je possède 4 addictions conscientes, c’est à dire, dont je reconnais la présence et je l’assume.
La première est le sport (avec mes 10 à 16h par semaine). Je n’arrive plus à concevoir une journée sans sport. Je me sens mal dans mon corps si je lui offre pas au minimum 30 minutes intensives. Et malgré, un physique largement au dessus des standards (189cm / 83kgs / 15% bodyfat), je ne me trouve jamais « assez bien ». J’en parle timidement dans ma newsletter #78.
La deuxième est le café (ou plutôt la caféine) Je bois 2 à 3 mugs de café filtre (si possible V60), soit le plus caféiné des cafés. Lorsque je me vois chambouler mon agenda si je ne trouve pas de café au réveil, je réalise l’emprise de ce beuvrage sur mon corps et mon esprit.
La troisième est l’alcool (ou plutôt le vin). Au 1er novembre 2020, je pensais avoir vaincu ce vieux démon (explications dans ma newsletter #087), mais finalement le succès fût de courte durée.
La quatrième est mon iPhone (où plutôt Instagram). J’ai essayé, toutes les techniques possibles et imaginables pour vaincre mon iPhone (technique 27 et technique 48). Il revient toujours en force dans mes journées (3h30 à 4h par jour). Si on regarde dans le détail, Instagram représente en moyenne 25% du temps passé sur mon iPhone ! J’ai tenté de nombreux systèmes « anti Instagram ». idem, sans succès.
Tout cela pour dire, qu’après 90 heures dans un hamac sans boire, ni manger, ni iPhone, rien n’est venu à manquer. Je pense avoir gagné une petite victoire : réaliser que c’est possible de s’en passer ! Maintenant, reste à savoir comment implémenter cela dans les prochains jours.
4/ (re)apprendre à attendre
Dans un monde qui va de plus en plus vite, n’est-ce pas une force d’apprendre à ralentir ? J’ai l’impression que c’est une tendance de fond qui emerge de partout, du yoga aux retraites en tout genre en passant par les livres de développements personnels (type « Deep Work« ). On est en plein dans le retour du « Slow ».
La Vision Quest doit être le moyen le plus efficace de comprendre qu’on s’est perdu dans notre société actuelle. Entre nos réunions « back-to-backs », les services de livraison en 15min et nos 500 notifications par jour, nous sommes dans une spirale infernale qui nous épuisent chaque jour un peu plus.
Tout comme le reste, nous sommes conditionnés par design à subir cette accélération de nos vies. Je n’ai pas de solutions à proposer, juste un constat flagrant à partager, issue de 4 jours passés entre deux arbres.
5/ La fin de la peur d’être seul
Je pourrai vous parler de ce sujet pendant des heures, mais cela n’est pas le sujet de cette newsletter (du moins pas en totalité), je vais donc tacher de faire court. Mon plus gros « fardeau » en partant à la conquête de mes rêves fin 2019, fût la peur d’être seul, la peur de ne jamais être « assez » (bien) pour être aimé.
J’ai mis les deux pieds dans le plat en prenant un ticket aller-simple pour Sydney après Noël. Seul dans un pays que je ne connaissais pas, à +17000km de distance mes proches, je n’ai pas eu le choix que d’affronter le problème. Voyant que je déprimais (et buvait) seul dans ma chambre, j’ai décidé de passer à l’étape du dessus : 10 jours en silence dans une retraite vipassana + 12 jours seul en vélo autour de l’île du sud de la Nouvelle-Zélande. Grosse claque dans la gueule.
C’est le Mexique qui apportera le coup de marteau final : 6 Holotropic Breathwork à Sayulita (j’en parle ici en vidéo) + mon expérience « Bufo Alvarius ». Je suis sorti complètement libéré de ce fardeau.
4 mois plus tard, je passe 4 jours seul dans la jungle sans penser une seule fois à la solitude ou la peur d’être seul. On peut appeler cela une belle victoire non ?
6/ Relâcher la pression (sur mon corps)
Si vous me suivez depuis plusieurs mois, vous savez que je combats un phénomène très répandu mais peu médiatisé : l’impression de n’être jamais assez bien physiquement. Cela porte le nom de « bigorexie ».
Rassurez-vous, cela va quand même de mieux en mieux. J’ai trouvé mon salue dans la data. J’ai toujours été attentif à mon poids et mon bodyfat comme vous pouvez le voir sur le graphique posté le mois dernier sur mon Instagram qui résume mon évolution sur les 15 dernières années.
Mais c’est “compter mes calories” sur 415 jours non stop (explications en détail ici) qui eut le plus gros impact sur le sujet. J’ai apporté de l’objectivité dans ma nutrition et réalisé à quel point j’avais tout compris de travers. Cela m’a permis ENFIN de m’approcher de ce que je recherchais et de VRAIMENT moins me prendre la tête.
Tout cela pour dire, que j’ai observé mon corps changé pendant cette vision quest. Tout d’abord, car il fallait bien s’occuper. Ensuite, car j’ai perdu 5kgs en 4 jours, donc les changements étaient perceptibles à vue d’oeil. Et bien, vous savez quoi ? Je suis sorti de la jungle avec un corps en parfaite santé, tout beau tout fin, avec la même masse musculaire qu’au premier jour.
Je me rends compte que je peux laisser mon corps tranquille pendant plusieurs jours et tout ira bien. je me rends compte aussi que c’est « une machine » bien faite, qui s’est se gérer très bien tout seule. Donc RELAX MAX !
Si vous lisez ces lignes, je vous remercie pour votre temps et j’espère que cela vous donnera envie de faire votre propre Vision Quest. Je ne pense pas qu’une conclusion soit nécessaire au vu de la quantité d’informations que je viens de vous partager.
En revanche, sachez que je suis à votre disposition sur vous avez des questions ! Le moyen le plus simple de me contacter est en cliquant sur le bouton ci-dessous :